mardi 18 septembre 2007

Des questions qui fâchent, et des réponses en forme de coups de taser dans la gueule

Ce soir je suis en colère. Ces images là ont de quoi rendre furax.



Les Skull and Bones sont une sorte de secte de pouvoir. Une organisation pseudo-secrète de l'Université de Yale. Un club très fermé au fonctionnement opaque, qui se dote de 15 nouveaux membres chaque année.

Lorsque l'élection présidentielle du pays le plus puissant du monde oppose deux cousins, qui font tous deux partie de cette organisation "ultra-select", ça soulève pas mal de questions sur l'état de la démocratie dans ce pays.





Dans la vidéo qui suit, un jeune homme armé d'un livre pose des questions qui fâchent à John Kerry, lors d'une visite de ce dernier à l'Université de Floride. Immédiatement après avoir posé ses questions, il se fait embarquer manu-militari alors que son comportement ne constitue aucune menace pour qui que ce soit. Il se fait plaquer au sol au fond de la salle, menotter, puis se prend un coup de Taser, devant toute l'assistance médusée tandis que John Kerry fait comme si de rien n'était. Non, tout ceci ne se déroule pas dans une obscure dictature à l'autre bout du monde. Ca se passe bien aux Etats-Unis.


Les 3 questions posées sont :
  • Dans la mesure où John Kerry aurait du gagner les élections présidentielles de 2004, tout comme Al Gore aurait du gagner celles de 2000, pourquoi Kerry n'a-t-il rien fait pour dénoncer cette deuxième fraude électorale consécutive ?
  • Une procédure de destitution a été lancée contre Bill Clinton en raison de ses parties de jambes en l'air. Pourquoi une telle procédure n'est-elle pas lancée aujourd'hui contre Georges W. Bush, alors que les faits qui lui sont reprochés sont beaucoup plus graves ?
  • Quelle est l'influence des Skull and Bones sur la politique des Etats-Unis ?

Adblock



Sous différents angles :




Il est important de souligner que depuis la "loi de prévention de la délinquance" initiée par Nicolas Sarkozy, en particulier l'article qui se base sur le prétexte du Happy-Slapping ; si une telle situation devait se produire en France, la diffusion de ces vidéos par des non-journalistes serait interdite sous peine de 5 ans d'emprisonnement et 75'000 euros d'amende. Voir :

Aucun commentaire: